Soutien à la publication de témoignages

Journal et dessins du camp de Drancy

L’œuvre de Georges Horan-Koiransky (1894-1986), né à Saint-Pétersbourg et interné à Drancy entre 1942 et 1943, témoigne de la persécution des Juifs d’Europe. Ses dessins et son journal illustrent une page particulièrement sombre de l’histoire de France et l’un de ses lieux de mémoire : le camp de Drancy.
Ses estampes, publiées en 1947 sous le titre Drancy, seuil de l’enfer juif, et rééditées en 2017, Georges Horan les commente dans les semaines qui suivent sa libération du camp. Ce récit inédit documente notamment l’été 1942, une période charnière de l’histoire de Drancy.
Soutenue par SNCF, cette édition, présentée et commentée par l’historien Benoît Pouvreau, reproduit le tapuscrit de Georges Horan dans son intégralité. Elle est préfacée par Thomas Fontaine, directeur du Musée de la Résistance nationale.

Georges Horan-Koiransky, Journal d’un interné. Drancy 1942‑1943, Éditions Créaphis, 2017, et Le Camp de Drancy, seuil de l’enfer juif. Dessins et estampes, 1942‑1947, Créaphis/Ministère des Armées, 2017.

©Créaphis
©Créaphis

Pierre Cocostéguy, prisonnier de guerre évadé d’Allemagne

Ce livre raconte comment, en juillet 1942, trois prisonniers de guerre français décident de s’évader du camp où ils sont retenus. L’auteur de ce livre était l’un d’entre eux.

©IKERZALEAK

Pierre Cocostéguy, Comment je me suis évadé d’Allemagne après 747 jours de captivité, Éditions Ikerzaleak, 2012.

Aller au contenu principal